Rappelant que le gouvernement s’est déjà exprimé sur cette question, allusion aux déclarations de Djoudi et au communiqué de son ministère, M. Bessalah a souligné que les lois et les règlements nationaux s’appliquent à cette société de droit algérien et que, sans l’autorisation de l’ARPT, Orascom Télécom Algérie n’a pas le droit de revendre sa licence. Plus explicite, le ministre a clairement dit que l’opérateur égyptien doit des explications aux autorités algériennes dont le souci est de « préserver le fonctionnement de cette entreprise ». « Nous voulons la sauvegarder, quelle que soit la solution qui sera retenue », a-t-il conclu. Ainsi, l’affaire Orascom-MTN continue à susciter la réaction du gouvernement qui demande à l’opérateur égyptien de se conformer à la législation algérienne. Après le ministre des Finances qui a signifié clairement à l’opérateur égyptien l’obligation de passer par l’ARPT avant toute négociation avec des opérateurs étrangers, le ministère de la Poste et des TIC a diffusé un communiqué dans lequel il a exprimé clairement la position du gouvernement qui rejette catégoriquement l’opération et menace carrément de retirer sa licence à Djezzy.
[readon1 url=”http://www.algerie-dz.com”]Source :algerie-dz.com[/readon1]