LAFRICAMOBILE est une startup qui propose de relier la diaspora et la communauté locale à travers des plateformes de communication multicanales par SMS, web et mobile. LAfricaMobile permet aux entreprises et institutions d’envoyer des informations à leurs cibles via des numéros courts.
Son offre permet par exemple aux médias de faire interagir leurs téléspectateurs via SMS. C’est le cas de la télévision nationale la RTS.
LAfricaMobile propose des services de recueil de données, de sondages, de développement de sites et applis, etc.
LAfricaMobile existe depuis trois ans et a des représentations au Sénégal et en France.

La startup LAFRICAMOBILE était présente au DAKAR DIGITAL SHOW 2016.

Créée en 2009, la startup Nelam Services fournit des services autour de la gestion de communautés, la publicité en ligne, le graphisme, les applications web et mobiles, les capsules audiovisuelles, etc. Nelam Services a été primée meilleure entreprise web et stratégie digitale lors de la première édition des Jambars Tech Awards en 2014 et a obtenu le prix de l’entreprenariat numérique féminin de Sonatel (PENF) en 2015 grâce à son produit Yaay.sn. Il s’agit d’une communauté de mamans qui s’informent entre elles sur les aspects liés à leurs activités de mamans.
Nelam Services, c’est aussi l’agenda culturel Agendakar, une plateforme phare pour s’informer de l’actualité culturelle et des manifestations à Dakar.

La startup NELAM SERVICES était présente au DAKAR DIGITAL SHOW 2016.

 

Avec la révolution industrielle quatrième qui se profile à l’horizon, le Forum économique mondial a prédit que plus du tiers des compétences plus importantes de travail vont changer au cours des cinq prochaines années. Une des tâches importantes et difficiles des éducateurs est de préparer les élèves au marché du travail du futur.

Une étude IDC prédit que la maitrise de la suite bureautique Office est la compétence de la quatrième plus demandées nécessaires pour les meilleurs emplois de l’avenir, suivant les aptitudes à la communication oral et écrit, la capacité de résolution de problèmes et l’intégrité, Microsoft vise à s’assurer que les étudiants africains ont accès à cette technologie et peuvent l’utiliser efficacement.

Le Directeur General de Microsoft Afrique subsaharienne, M. Amr Kamel, réaffirme l’engagement de Microsoft à soutenir l’éducation sur le continent africain cette semaine lors de la signature du protocole d’accord avec le Ministère de l’Education Nationale. Cette signature de protocole d’accord se fera en présence tous les acteurs de l’Education, du Ministère, des écoles et la société civile, les syndicats, et les principaux bailleurs et donateurs.

Une meilleure éducation, combinée à un accès rapide aux outils et aux compétences nécessaires aux métiers de demain, a le potentiel pour aider à créer des collectivités plus saines, des économies et des travailleurs qui sont prêts à entrer dans le marché du travail. Chez Microsoft, nous nous engageons à empower la prochaine génération de travailleurs en construisant les compétences qui mettent l’accent sur la collaboration, communication, créativité, esprit critique et la coopération, en fournissant des accès à la technologie et en donnant aux jeunes des outils à l’appui de leur apprentissage par la fourniture de Office 365 à toutes les écoles publiques et privées au Sénégal.

Un protocole d’accord similaire visant la transformation de l’éducation a signé avec le ministère de l’Education au Rwanda englobant plus de 65 000 enseignants et 3,2 millions élèves. Cela se fait grâce à des réductions sur des tablettes Windows et la mise à disposition de contenus éducatifs, de perfectionnement professionnel et de certification pour élèves et enseignants en s’appuyant sur Azure et Office 365.

En Afrique de l’Ouest, nous avons également travaillé avec l’ANSUT Cote d’Ivoire pour fournir des services Office 365 pour tous les professeurs, le personnel et les étudiants à travers six universités publiques.

Les investissements de Microsoft dans l’éducation continuent sous différents programmes dont :

  • l’ initiative 4Afrika et YouthSpark.
  • Office 365 ProPlus Benefit, qui permet aux établissements d’enseignement admissibles installer la dernière version du bureau sans frais supplémentaires.
  • Partners In Learning, qui offre une formation pour les éducateurs en format numérique et a déjà profité a de plus 13 millions d’élèves et étudiants en Afrique subsaharienne à ce jour.

Avec les partenariats forts et soutenus avec les gouvernements africains, Microsoft reste attaché à l’amelioration de l’éducation à travers le continent, afin de préparer les étudiants à l’avenir dans le monde du travail.

via communiqué

Viber Public Chat, ce réseau social créé par la plateforme de messagerie Viber permet d’ouvrir des discussions en live à partir de l’application. Africa Goes Digital tourne autour de ce réseau social. Ce groupe de référence pour découvrir et s’informer sur le numérique en Afrique réunit des dizaines de contributeurs et plus de 11 000 followers.
Le Public Chat Africa Goes Digital est un lieu où discutent des professionnels du digital qui font la promotion, le partage d’expériences et le relai sur les révolutions / évolutions du digital en Afrique.

La communauté AFRICA GOES DIGITAL #AGD était présente au DAKAR DIGITAL SHOW 2016.

Présente sur trois continents (Amérique, Europe et Afrique), la société DIGITAL VIRGO accompagne ses clients à monétiser leurs contenus. Disponibles sur des plateformes de streaming illimités en audio ou en vidéo, les solutions de Digital Virgo sont des contenus locaux vendus sur abonnement à travers des portails SMS ou audiotels.
La structure travaille notamment avec les médias ou sociétés spécialisées des jeux.

La société DIGITAL VIRGO était présente au DAKAR DIGITAL SHOW 2016.

 

La communauté des gamers du Sénégal, SEN-GAMES regroupe près de 2000 joueurs selon Babacar Gassama, le président de ladite association. Ils sont spécialisés sur beaucoup de jeux. SEN-GAMES organise des tournois au cours de l’année et vise à faire la promotion des jeux vidéos au Sénégal, en Afrique et dans le Monde.
Le gaming génère beaucoup de ressources financières dans le monde et SEN-GAMES a pour objectif d’impliquer les communautés dans les jeux vidéos.
Les membres de SEN-GAMES ont eu à développer des jeux vidéos notamment sur le mobile. Des jeux adaptés aux contextes locaux africains.

L’association SEN-GAMES était présente au DAKAR DIGITAL SHOW 2016.

 

Le Dakar Digital Show, 1er forum africain sur la création de contenus numériques s’est tenu le 1er juin passé à Dakar. L’objectif de la rencontre était de regrouper en une journée des acteurs qui évoluent dans la production numérique. Cet événement de grande taille a été une opportunité pour les porteurs de projet innovants ou les entreprises qui ont un projet de transformation digital, de rencontrer des acteurs dans ce domaines et de nouer des partenariats. L’édition de cette année s’est déroulée sous un format interactif avec des démonstrations et des rencontres dans les stands.

Toutes les vidéos sur le Dakar Digital Show 2016

L’économie collaborative ou l’économie du partage a fait l’objet de nombreuses tentatives de définition, tant ce concept est polysémique et en constante évolution. Rachel Botsman2, une experte en la matière et un des fers de lance de ce concept, définit ce dernier comme une combinaison de termes et le considère comme étant « un modèle économique basé sur l’échange, le partage, la location de biens et de services privilégiant l’usage sur la propriété ».

Ces échanges et partages sont facilités par les technologies de l’information et des communications et impactent quasiment tous les secteurs, touchant ainsi un nombre de plus en plus croissant de personnes.

Selon les estimations de PricewaterhouseCoopers, les revenus mondiaux des cinq principaux secteurs de l’économie collaborative passeront de 15 milliards de dollars en 2013 à 335 milliards de dollars d’ici 2025.

La recrudescence de ce phénomène dans les pays occidentaux peut être expliquée par les nouveautés qu’il offre. L’économie collaborative propose en effet de nouvelles façons de produire, d’échanger des produits et services consistant à faire correspondre de manière efficace ceux qui ont des actifs ou des talents à partager avec ceux qui en ont besoin par le biais de l’Internet et des plateformes numériques.

Ce concept vient également profondément bouleverser et perturber un modèle fondé sur le marché traditionnel en déplaçant le paradigme basé sur la propriété à une situation où la coopération et l’échange « pair à pair » est la norme.

Nous assistons dans une grande majorité de ces pays occidentaux à un passage progressif et continu d’une logique de propriété à celle de partage entre usagers. En effet, bon nombre d’usagers préfèrent aujourd’hui utiliser des formules d’abonnement mensuel donnant par exemple un accès illimité à une bibliothèque numérique (Kindle Unlimited), ou encore à un catalogue de type Netflix, Spotify ou Deezer.

Que cela soit dans le cadre de la famille, de la tribu, de l’ethnie ou de la nation, la solidarité et notamment le partage constituent une réalité bien ancrée dans les sociétés africaines. Ce que l’économie du partage numérique devrait donc logiquement apporter à l’Afrique et aux africains, ce sont des échanges à une plus grande échelle et la possibilité de partager en toute confiance, biens et services avec de parfaits inconnus.

Des pays comme le Nigéria, le Rwanda et l’Afrique du sud entre autres, ont assisté à l’installation sur leurs territoires de « géants » tels que Uber et Airbnb, mais également à l’émergence d’innovations locales qui répondent directement aux besoins des populations.

En Afrique du sud, le service en ligne de ménage sur demande SweepSouth a connu un succès fulgurant en un temps record augmentant ses recettes de 450% lors des quatre premiers mois de fonctionnement. La plateforme permet de connecter les propriétaires avec des professionnels de nettoyage domestique fiables et expérimentés.

Au Rwanda, SafeMotos offre un service à la demande de motocyclettes-taxis avec des chauffeurs à la conduite irréprochable. Le service fait de la sécurité son cheval de bataille et utilise une combinaison de logiciels installés sur les téléphones intelligents des chauffeurs pour contrôler la qualité de conduite de ces derniers.

Au Nigéria, Prepclass connecte les professeurs-tuteurs avec les étudiants. Ce service est un succès phénoménal et les fondateurs de cette plateforme doublent leurs revenus en moyenne tous les 3-4 mois.

L’économie collaborative offre bien plus que la possibilité de louer des espaces, des outils et des moyens de transport. Elle permet en plus de faciliter l’accès à des financements participatifs (Crowdfunding) à des taux très compétitifs. Elle peut également être une solution au chômage avec la possibilité d’accéder à de multiples emplois numériques (travail à la pige ou micro- boulot) ou de monnayer son expertise à travers les plateformes de Free-lance etc.

Les avantages et opportunités qu’offre cette « nouvelle » façon d’échanger des biens et services sont nombreux. Raison pour laquelle, les pouvoirs politiques doivent redoubler d’efforts et accélérer le développement des infrastructures des télécommunications et notamment les infrastructures mobiles pour permettre des couvertures plus complètes des territoires.

Réduire la fracture numérique permettra une amélioration des accès des populations aux réseaux et services numériques et servira de socle pour bâtir des environnements numériques propices aux innovations. C’est dans ces conditions que des plateformes favorisant l’identification en ligne, la réputation et bien évidemment la sécurité des échanges et transactions pourront proliférer tout en augmentant la confiance qui est un élément essentiel des échanges pair à pair.

Les gouvernements auraient également tout intérêt à développer des législations adaptées pour un encadrement plus adéquat de ce modèle et ainsi éviter les abus potentiels.
Dans certaines parties du globe, les impacts de l’économie collaborative ont été très importants sur les administrations publiques et municipales, notamment dans les secteurs du transport et de l’hôtellerie. Nous avons tous en tête les images des nombreuses grèves et coups de colère des taxis et autres professionnels de l’hôtellerie.

Il n’existe présentement pas de consensus dans la façon dont les administrations doivent répondre aux défis législatifs que pose ce modèle. Certaines villes ont mis à jour leurs politiques pour légitimer ces entreprises perturbatrices, là où d’autres ont préféré limiter le développement de ces dernières par la mise en place de mesures spéciales.

Favoriser le développement d’infrastructures, encourager l’innovation et adapter les législations permettront de tirer le maximum de ce concept, de booster l’économie, de formaliser certains pans du secteur informel et ainsi de bénéficier pleinement de ses nombreux avantages.

En Afrique nous partageons depuis si longtemps, avec l’économie collaborative nous partagerons davantage et mieux.

Oumar Watt
Gestionnaire GI/TI – Spécialiste en intelligence économique.

On comprend difficilement le tollé d’une certaine partie de la société civile s’offusquant de ce “cadeau royal” fait à une entreprise “réalisant des bénéfices astronomiques”. Certains consuméristes ont poussé l’outrecuidance jusqu’à taxer l’État …

L’actualité récente a remis sur la sellette de l’actualité le renouvellement de la concession faite par l’État à la Sonatel. Et dans la foulée, l’octroi du droit d’exploitation de la licence 4G. Le tout pour la bagatelle de 100 milliards de francs CFA. On comprend difficilement le tollé d’une certaine partie de la société civile s’offusquant de ce “cadeau royal” fait à une entreprise “réalisant des bénéfices astronomiques”. Certains consuméristes ont poussé l’outrecuidance jusqu’à taxer l’État sénégalais de “complicité”. Rien de moins. Comme si, nos autorités dont le soutien n’a jamais manqué heureusement à la Sonatel, n’avaient pas pris la juste mesures des enjeux présents et futurs de la société numérique. Comme si ces parangons improvisés de la morale et de l’éthique du mouvement consumériste, jouissaient d’un patriotisme plus élevé que l’administration et les consommateurs.

Plus grave, cet acharnement compulsif et actif à chaque fois que la Sonatel occupe les devants de l’actualité, peut cacher de sombres desseins. Ou à tout le moins, un nihilisme ou un subjectivisme de mauvais aloi. En tout cas, il révèle une totale ignorance du contexte international dans lequel s’effectue cette mutation vers le haut débit. En effet, un simple benchmarking dans des pays économiquement plus solides que le nôtre, leur eût permis de constater que nulle part, les opérateurs n’ont pour ainsi dire “casqué” moins que ce que la Sonatel, a déboursé pour acquérir à la fois, pour 17 ans la concession le monopole de la 4G. Les cas du Maroc, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire et de certains d’Afrique de l’Est, auraient pu à suffisance, limiter leur ardeur contestataire et les amener à se féliciter de la clairvoyance de l’État. Et … aussi de l’effort financier consenti par la Sonatel, alors même que la rentabilité de la 4G à court ou moyen terme, est très sujette à caution. Mais, le prix à payer pour entrer de plain-pied dans l’ère du débit ultra rapide en valait bien la chandelle. Ce n’est certes pas du goût des consuméristes, assurément hémiplégiques, ne voyant les choses que du petit bout de la lorgnette.

Faut-il rappeler que suite à l’autorisation de l’ARTP en 2013, la Sonatel a pu dérouler avec succès sur le plan technique, une phase pilote de 14 mois qui s’est terminée le 31 mars 2015 sur décision de l’ARTP. La suite, c’est les investissements importants consentis par l’opérateur historique pour installer les consommateurs et les entreprises au cœur l’économie numérique.

Et pourtant, quand des entreprises, moins impactantes et moins performantes, bénéficient de faramineux cadeaux fiscaux estimés à 50 milliards FCFA, chez nous, on ne sent pas autant de volée de bois vert de la part des mêmes consuméristes. Que faut-il voir à travers cette indignation sélective et ciblée ? Mystère et boule de gomme !

Dans un monde où la préférence nationale, l’isolationnisme et le protectionnisme sont légion, comment comprendre une telle débauche d’énergie négative, et autres tentatives de manipulation de l’opinion publique et des consommateurs. Avec un honorable ratio de 12,5% du PIB, des recettes fiscales de l’ordre de 100 milliards, des retombées en termes de salaires d’effets induits pour les entreprises privées d’environ 450 milliards de nos francs, la Sonatel aurait pu légitimement prétendre à plus de faveurs. Avec plus de 100.000 emplois indirects et 3.000 emplois, directs dans la sous-région, le réflexe le plus judicieux aurait été d’éviter toute activité ternissant son image et obérant son développement. Qui plus est, quand à la faveur de sa Fondation éponyme, la Sonatel soutient, pour environ 13 milliards, l’éducation, l’emploi, la santé, le sport et les activités pratiques et productives.

La mémoire est dit-on la reconnaissance du cœur. Rappeler ces faits ne peut être assimilé à aucune forme de complaisance vis-à-vis de l’opérateur. Il s’agit encore moins de passer sous silence, ses imperfections et les attentes non encore satisfaites en termes de coût d’accès aux services de téléphonie et d’internet. Loin encore, l’intention de mettre le voile sur les saturations épisodiques du réseau et autres inconvenances techniques qui peuvent frustrer des consommateurs, surtout en périodes critiques, (week-end, fêtes religieuses, roaming, entre autres). Il faut bien accepter à ce titre, que les satisfécits délivrés par l’ARTP, sur la tarification des services Orange, ne pourront pas non plus empêcher les consommateurs de réclamer plus de promotion, plus d’écoute et plus de qualité de service.

Cependant, le rôle des associations consuméristes, c’est précisément, c’est de faire de l’alerte et de la révélation de redoutables armes de veille pour recadrer, tous les opérateurs. Y compris, les privés, qui trouvent souvent chez les consuméristes beaucoup une bienveillante indulgence. La Sonatel, même avec le judicieux partenariat d’Orange, reste un service public sénégalais et africain, comme le montre sa présence au Mali, en Guinée, Guinée Bissau et plus récemment en Sierra Leone. Le tout pour une capitalisation boursière de l’ordre de 800 milliards CFA. Et le meilleur est à venir !

Il faut tout de même reconnaître que l’État, (27% du capital) depuis bientôt, trente ans, a mis la Sonatel dans les meilleures conditions d’épanouissement. L’avance considérable que l’opérateur historique sénégalais a prise sur les autres pays au Pib dix fois plus élevé que le nôtre, le prouve aisément. La Sonatel est le seul opérateur historique qui ait réussi une croissance externe aussi importante avec un partenaire stratégique qui ne détient pas la majorité du capital. Dans Maroc Télécom, Côte d’Ivoire télécom et Mauritius télécom, l’opérateur français, est, pourtant majoritaire, mais non à la Sonatel.

Et malgré tout, la Sonatel, fait l’objet de focalisation de la part de détracteurs peu inspirés. La présence de France Télécom (42%, 69 milliards de gain, et 0,2% du personnel) est injustement agitée comme un innommable scandale, pour des “procureurs” en mal de chefs d’accusation sérieux. Un autre benchmarking dans les autres secteurs de l’eau, pourtant stratégiques, des mines et du pétrole, où la part de l’État dans le capital des sociétés d’exploitation, est très faible, devrait certainement les pousser à plus de prudence. Cet acharnement, est, surtout de leur part, un manque du sens le plus élémentaire du réalisme économique, fondé sur la recherche des chaînes de valeur, une direction de management mondialement validée.

Il est temps pour les consuméristes de regarder le monde avec les lunettes du réalisme économique, pour éviter des prismes déformants du nationalisme étroit. Protéger la Sonatel, contre des réflexes destructeurs, relève du patriotisme conscient. C’est protéger notre économie nationale, les consommateurs domestiques et professionnels qui tirent toutes opportunités de l’économique numérique. Il faut que la Sonatel reste, cette vitrine valorisante du Sénégal émergent. Dans le vrai sens du terme. C’est en cela que notre contribution est un véritable appel du cœur, à la raison.

Par Momar Seyni Ndiaye
Consultant en communication