L’internet mobile gagne du terrain dans le monde. Selon le dernier rapport 2015 de l’Union Internationale des Télécommunications sur « Mesurer la société de l’information », le mobile a connu une grande expansion les dernières dix années.

« Au cours des dix années écoulées depuis le SMSI, l’accès aux TIC et leur utilisation se sont fortement développés, notamment en ce qui concerne les services mobiles et l’Internet. Les réseaux cellulaires couvrent désormais de plus de 95% de la population mondiale, et le nombre d’abonnements au cellulaire mobile est passé de 2,2 milliards en 2005 à 7,1 milliards en 2015, selon les estimations » lit-on dans le rapport.

Selon l’UIT, la croissance du taux de pénétration du marché cellulaire mobile mondial a ralenti à mesure que le nombre d’abonnements s’approche de celui des habitants de la planète. Mais il reste encore un bout de chemin pour atteindre l’accessibilité et l’utilisation universelles de la téléphonie mobile dans les pays en développement.

Les abonnements au téléphone fixe ont connu un déclin lent mais régulier, passant de 1,25 milliard en 2005 à 1,06 milliard (d’après les estimations) en 2015, notamment en raison du remplacement du fixe par le mobile.

Le nombre d’abonnements au large bande mobile dans le monde a augmenté de 0,8 milliard en 2010 à 3,5 milliards (d’après les estimations) en 2015, tandis qu’il a été augmenté beaucoup plus lentement dans le large bande fixe, pour atteindre 0,8 milliard (d’après les estimations) aujourd’hui. Le nombre d’utilisateurs d’Internet a aussi augmenté rapidement. Il est maintenant estimé à plus de 40% de la population mondiale .

Les pays en développement sont encore à la traîne derrière les pays développés en termes d’accès aux TIC

Cependant le rapport explique qu’il y a des écarts notables de taux de pénétration persistent dans la téléphonie et la large bande fixes et mobiles entre pays appartenant à des niveaux de développement différents.

« Les pays en développement sont encore à la traîne derrière les pays développés en termes d’accès aux TIC, et les pays les moins avancés (PMA) sont particulièrement défavorisés. L’accès aux TIC et à l’Internet est également beaucoup plus limité dans certaines régions que dans d’autres : les taux de pénétration en Afrique sont loin derrière ceux du reste du monde. » La fracture numérique divise aussi bien les pays entre eux que les pays eux-mêmes, notamment entre zones urbaines et zones rurales. Dans beaucoup de pays, un fossé important perdure entre hommes et femmes, sans compter la fracture généralisée séparant les habitants ayant un revenu élevé des habitants ayant un revenu faible.

Télécharger le rapport

Via Social Net Link

Le secteur du e-commerce est en pleine expansion sur le continent africain, une croissance qui se construit malgrè des difficultés énormes, notamment un faible taux de bancarisation des populations. Pour accroître davantage leurs chiffres, les e-commerçants se tournent désormais vers de nouveaux moyens de paiement afin de permettre à toutes les couches sociales de bénéficier de leurs services et produits.

Beaucoup d’entrepreneurs africains se tournent vers le commerce en ligne, un marché en pleine croissance qui attire de plus en plus de consommateurs. Avec des coûts d’achat de produits et services souvent en dessous de ceux pratiqués sur le marché physique, faire ses achats en ligne n’est plus pour les africains une « mode », mais plutôt un moyen pratique pour acheter ou avoir accès à un service de qualité. Cette expérience d’achat connaît tout de même de nombreuses limites, notamment celles relatives aux paiements en ligne. Traditionnellement, pour faire ses achats en ligne, il faut posséder un compte bancaire et une carte dédiée aux paiements en ligne. Selon le Global Findex, le taux de bancarisation reste très faible sur le continent, en Afrique de l’ouest par exemple il avoisine les 15%, dans le centre de l’Afrique il est encore plus bas avec seulement 7%. La raison la plus fréquente pour détenir un compte bancaire est le besoin de prêt, par exemple, pour faire face aux urgences financières familiales. Le deuxième besoin évoqué par les populations réside dans les frais de scolarité, l’achat ou la construction d’une maison, l’achat d’un véhicule ou encore les dépenses ponctuelles pour un mariage ou des funérailles.

Le mobile banking pour pousser le secteur

Dans de nombreux pays africains, le mobile banking est désormais une solution palliative au faible taux  de bancarisation, notamment pour les revenus faibles, ou encore pour les transactions rapides (paiement de factures, envoi d’argent à un tiers…). Cette bancarisation mobile constitue également une aubaine pour les e-commerçants. « Il est important pour les e-commerçants de s’adapter aux réalités du marché. Pour permettre à tous les africains d’avoir accès à nos services nous explorons tous les moyens de paiement possibles. Dans des pays comme le Nigéria, le Kenya par exemple, nous avons donné la possibilité à nos clients de payer leur réservation via leur téléphone, et je peux vous dire que c’est un véritable succès, nous somme en train de l’étendre à l’ensemble des pays », explique Paul Midy, CEO de jovago.com, une plateforme hôtelière en ligne. « On parle en 2015 de plus d’un milliard d’utilisateurs de services bancaires mobiles dans le monde, et je pense que le fait que l’Afrique soit devenue le deuxième marché mondial de la téléphonie derrière l’Asie, avec une croissance de 30% ces dix dernières années, présente énormément d’opportunités à saisir pour les opérateurs de mobile banking et pour les acteurs du e-commerce. L’Afrique fait actuellement figure de laboratoire de l’utilisation du mobile banking, un service qui constitue également un véritable vecteur d’inclusion économique et de prise en compte de la précarité de la bancarisation sur le continent. Si le mobile banking est très developpé dans les pays anglophones, notamment au Nigéria et au Kenya où près de 70% des personnes ayant un téléphone mobile ont un compte, dans les pays francophones, il est certes encore très bas, mais commence par devenir un réflexe pour les populations qui n’ont pas souvent accès au système bancaire classique. C’est le cas du Sénégal qui compte en 2015 près de deux millions d’utilisateurs du mobile banking.

Ismael Cabral Kambell
Responsable Relations Publiques
Jovago Afrique de l’Ouest

La Guinée Bisssau entre dans l’ère de la haute technologie mobile. Le pays vient de lancer officiellement ce 22 Décembre la 4G ou technologie de 4e Génération, au moment où le Sénégal traine le pas.

La Guinée Bissau, vient d’entrer dans la cours des grands pays qui ont pu réussir à instaurer la 4G. En effet, c’est ce 22 décembre 2015  que l”opérateur Orange Bissau qui a obtenu sa licence à hauteur de 2 milliards de FCFA, a lancé la 4G après avoir lancé en premier la 3G+ le 1er mai 2015,

Grâce à cette technologie, les internautes pourront bénéficier d’un réseau de données haut débit avec la technologie LTE. Le réseau 4G d’Orange  sera disponible dans un premier temps dans la capital Bissau et très prochainement dans d’autres régions du pays.

Le Sénégal traine toujours

Si la 4G est effective en Guinée Bissau, tel n’est pas encore le cas au Sénégal. Depuis son annonce, la 4G peine à être utilisée par les internautes. Le retard dans le déploiement s’explique par le fait que l’Etat à travers l’Autoritié de Régulation des télécommunications et des Postes est au stade d’appel d’offre avec les opérateurs qui ont déjà tous les infrastructures nécessaires pour déployer la 4G. Ce qui constitue un manque à gagner.

Même si l’ARTP a lancé le processus d’attribution des licences et fréquences 4G, force est de reconnaitre que le Sénégal est en retard (les opérateurs auraient jusqu’au 18 janvier 2016 avant l’attribution de la licence 4G)

Une question de sous et d’intérêt

L’attribution des licences 4G ne sera pas aussi une mince affaire au Sénégal. Au moment où la Guinée Bissau a casqué 2 milliards de FCFA,  au Sénégal, les opérateurs feront face au bâton de l’état, risquant de placer la barre très haute. Une attitude de freinage de l’introduction de la technologie dans le pays .

Avec toutes ses contraintes, le Sénégal est dans le flou total, à l’heure où la technologie de 4e Génération est indispensable dans un continent qui gagne du terrain dans le domaine du Mobile.
Pour rappel, la rapidité et la performance du réseau 4G permettent d’accéder dans les meilleures conditions à tout l’univers de l’Internet mobile. C’est à dire, la navigation sur Internet en toute rapidité, la réalisation rapide de plusieurs actions en même temps . Par exemple télécharger une vidéo tout en naviguant sur internet, accéder instantanément, où que vous soyez à tous vos documents stockés dans le cloud : musiques, fichiers, photos, etc…

Source : Socialnetlink

Notre pays va entrer dans la sphère des « pays smart » en paraphant avec l’un des leaders mondiaux des télécoms, « Huawei », un accord-cadre de coopération portant sur le développement des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) au Sénégal.

C’est en substance ce qui ressort du discours du Directeur général de l’Agence de l’Informatique de l’Etat, Cheikh Bakhoum, lors de la signature de cet accord cet après-midi. « Nous avons signé la phase trois du projet « E-government » qui permettra à l’Etat du Sénégal de bâtir 3 000 kilomètres de fibre à travers le Sénégal ce qui permettra à notre pays d’être totalement désenclavé du coté numérique. C’est des projets avec des investissements conséquents qui permettront à notre Etat de disposer d’infrastructures de dernière génération et à notre écosystème de TIC de bénéficier de ces infrastructures. »

« Nous allons permettre au secteur privé national de bénéficier de ces infrastructures et davantage développer des services à forte valeur ajoutée. Cet accord cadre permettra à notre pays d’entrer définitivement dans la sphère des pays smart » ajoutera t-il.

Ce protocole va permettre aussi à l’Etat de développer un partenariat dans la recherche et le développement, fera savoir en outre Cheikh Bakhoum.

Accord Cooperation TIC ADIE - Cheikh Bakhoum 2

« Nous avons beaucoup de problématiques que nous ne partageons pas avec les autre pays. Il est important que nous puissions faire de la recherche en prenant en compte notre société et apporter les solutions. Cet accord nous permettra de bâtir de grands laboratoires de recherche et développement et d’assurer un transfert de compétence entre les différents ingénieurs. »

Cet accord a donc pour objectif de permettre à tous les sénégalais de voir leur qualité de vie améliorée, finira par dire le DG de l’ADIE.

Le Directeur Sénégal et Afrique du Nord de Huawei, `, après avoir dit son honneur de signer cet accord et aussi revenu sur les nombreuses réalisations de HUAWEI au Sénégal depuis son implantation en 2005 dans notre pays. « Des réalisations qui permettent au pouvoir public de faire des économies substantielles et de faciliter la communication entre l’administration et le contribuable Sénégalais. »

Sur la phase un de la coopération entre Huawei et le Sénégal, plus de 50 millions de dollars ont été inscrits, et 85 millions sur la phase trois.

Les opérateurs de téléphonie ont jusqu’au 18 janvier 2016 pour déposer leur offre dans le cadre du processus de cession de la licence 4G. Selon le Directeur général de l’Artp, une fois ce processus achevé, la nouvelle technologie va permettre de multiplier par dix les débits.

Le lancement de la 4G sera effectif au Sénégal au début de l’année 2016. Selon le Directeur général de l’Autorité de régulation des postes et télécommunications (Artp), les opérateurs intéressés par une licence 4G ont jusqu’au 18 janvier prochain pour faire leurs offres. Une fois cette étape franchie, l’Artp procédera à l’attribution de la licence 4G. Abdou Karim Sall, qui a procédé samedi à l’ouverture du 2e séminaire de formation et de partage avec le Réseau des journalistes en Technologie de l’information et de la communication (Rejotic)  sur les secteurs régulés, indique que l’arrivée de la 4G va contribuer à réduire la fracture numérique. «En multipliant par 10 les débits, en améliorant les temps de réponse et en apportant plus de capacité, le très haut débit mobile va ouvrir de nouveaux usages en mobilité. Chacun pou­rra télécharger des vidéos ou surfer sur internet, ou bien accéder à la vidéo en haute définition depuis son mobile beaucoup plus vite. Sans parler des développeurs qui vont s’emparer de cette nouvelle technologie pour imaginer de nouvelles applications et faire naître de nouveaux usages, comme le «cloud mobile», le jeu en réseau dans les nuages ou la réalité augmentée», indique le directeur de l’Artp.
Avec 10% de contribution au Produit intérieur brut (Pib), le secteur du numérique est en pleine croissance dans le pays. «Le secteur des télécommunications représente près de 10%  du Pib en 2014, il est l’un des secteurs les plus dynamiques du tertiaire et par ricochet, constitue un secteur majeur de l’économie du Sénégal, en forte croissance, s’appuyant en cela sur le développement du marché mobile et des services de capacité», souligne M. Sall. Secteur d’infrastructures, le numérique fait, selon lui, l’objet d’in­­ves­tissements substantiels, «gage de développement technologique, d’innovation, de création d’emplois et de démocratisation des services».

Un million de Sénégalais ont acheté sur le net en 2015

L’ambition de l’Artp est ainsi d’accompagner ce développement dont le dynamisme permettra le développement d’au­­­­tres secteurs. Pour ce faire, l’Autorité de régulation s’est dotée d’un plan stratégique 2015-2017 comportant de grands chantiers. C’est dans ce cadre que s’inscrit le projet de mise en place d’un système d’adressage national. L’initiative vise, selon M. Sall, à appuyer le développement des nouveaux secteurs comme le commerce électronique. Le secteur postal où  transitent 500 milliards de francs Cfa par an compte tirer profit du développement du commerce électronique qui con­naît un boom dans le pays. Selon le directeur de l’Artp, durant l’année 2015, plus d’un million de Sénégalais ont acheté à travers internet sur des sites marchands. «C’est dire que ce secteur est en pleine croissance. Et ce qui est attendu d’ici 2020, c’est que ce marché va être très dynamique. C’est pourquoi nous devons anticiper pour capter les flux de ce nouveau marché.» Ainsi, la fusion entre l’internet et le service postal est un chantier dans lequel l’Artp va intervenir à travers un programme d’adressage. «Quand on parle de livraison, on parle d’adresse. C’est la raison pour laquelle nous avons estimé que ce secteur ne peut se développer qu’en dotant le Sénégal d’un système d’adressage cohérent», indique M. Sall. Pour le chef du département postal de l’Artp, M. Adama Diouf, le Sénégal fait face actuellement à une multiplication des systèmes d’adressage. «Cha­que opérateur, Sonatel, Société des eaux (Sde), Société nationale d’électricité (Senelec) a son propre système d’adressage sans compter les banquiers, les assureurs. Cela représente un problème de sécurité», informe M. Diouf.

Externalisation : «C’est une question de souveraineté»

Le conflit qui oppose Orange à ses travailleurs, relatif au projet d’externalisation de certaines activités de l’opérateur, va faire l’objet d’un arbitrage de l’Artp. Selon le Directeur général, Abdou Karim Sall, l’Artp a été saisie par les syndicats. «En ce qui nous concerne, nous avons été saisis par les syndicats et nous sommes en train de travailler sur la question avec les ministres compétents», informe M. Sall. Il indique qu’il s’agit de questions «pas faciles» et qui sont «plus liées à la sauvegarde de l’emploi». En effet, dans les textes juridiques, rien ne s’oppose à l’externalisation, indique Kalidou Gaye, directeur des Affaires juridiques de l’Artp. Selon lui, il s’agit plutôt d’une «décision de souveraineté» que les Etats doivent prendre ou anticiper. «Ça nécessite quand même que des acteurs se mettent autour d’une table pour échanger et pour l’intérêt général du secteur et des travailleurs», estime M. Sall, qui a donné ces précisions en marge du séminaire de formation et de partage avec les journalistes du Rejotic sur les secteurs régulés.

Fréquences radio : L’Artp va exiger des filtres

Devant l’indiscipline qui prévaut dans l’exploitation des fréquences radiophoniques, l’Artp n’exclut pas de sévir. Abdou Ndiaye, directeur de la Radiocommunication, indique en effet que «l’Artp va aller vers une mesure pour contraindre les exploitants à installer un filtre à la sortie émetteur et à la sortie console». Selon M. Ndiaye, l’installation de ces filtres est d’un coût élevé, mais l’Artp «est obligée de prendre ces mesures pour restaurer la discipline». L’expert souligne que la bande va aller vers la saturation, d’où l’importance pour les opérateurs de se discipliner. Il faut dire que les problèmes ne manquent pas dans la gestion des fréquences des radios qui en arrivent à se gêner les unes les autres. C’est le cas par exemple pour Radio Sénégal international (Rsi) qui ne peut émettre sur le territoire des Parcelles Assainies du fait des interférences nées de l’émetteur d’une radio religieuse du quartier.

Portabilité : Ce n’est pas encore le rush

Trois mois après sa mise en œuvre, la portabilité n’est pas encore bien comprise par les consommateurs. Selon les conclusions fournies par Mme Mana Aïdara de l’Artp, il y a «une incompréhension des consommateurs». Ainsi, après trois mois, on constate que les chiffres restent très faibles. Ainsi Sonatel n’a reçu que 790 demandes de portabilité contre 1 552 pour Tigo et 841 pour Expresso.  La portabilité, qui est une demande des operateurs, «est la possibilité pour un abonné de changer d’opérateur, sans changer de numéro», précise Mme Aïdara. L’objectif étant de renforcer la concurrence dans le secteur, baisser les prix et inciter les opérateurs à fidéliser leurs clients.

Mame Woury Thioubou
Source : Le Quotidien

Le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), Abdou Karim Sall, a magnifié samedi à Saly-Portudal, le dynamisme du secteur de la télécommunication qui représente près de 10% du Produit intérieur brut (PIB) du Sénégal.

M.Sall qui intervenait lors de l’ouverture d’un atelier de formation et de partage à l’intention des journalistes, a souligné que ‘’c’est un secteur majeur de l’économie sénégalaise’’, en s’appuyant sur le développement du marché du mobile et des services de capacité.

Cette rencontre est organisée en partenariat avec le Réseau des journalistes en technologie de l’information et de l’information (REJOTIC).

’’Les télécommunications font l’objet d’investissements substantiels, gages de développement technologique, d’innovation, de création d’emplois et de démocratisation des services’’, a-t-il noté.

Selon lui, ’’le lancement de la licence 4G s’inscrit dans la continuité de la stratégie numérique de l’Etat, et des actions déjà menées pour réduire la fracture numérique au Sénégal ’’, a-t-il soutenu.

Revenant sur les innovations notées dans le secteur des télécommunications, le directeur général de l’agence de régulation, a annoncé que le secteur postal où transite près de 500 milliards de francs, ne sera pas en reste, en raison de son importance dans le tissu socio-économique.

’’L’ARTP travaille en étroite collaboration avec les acteurs concernés pour la mise en place d’un système d’adressage national dont les résultats seront très importants pour l’économie sénégalaise en tant que catalyseur’’, a fait savoir Abdou Karim Sall.

Source : APS

Comme vous le savez déjà l’Open Source a pris le contrôle de tous les secteurs d’innovation logicielle, tant dans le Cloud, le Big Data, l’Internet des objets et la mobilité que le Web. Travailler dans la filière du logiciel libre, c’est construire les outils d’aujourd’hui et de demain.

Notre communauté Linux Sénégal, vous convie au premier Linux Camp 2015 qu’il organise ce samedi 19 décembre.

Qu’est-ce qu’un Linux Camp ?

Il s’agit d’une non-conférence née de la volonté des gens à partager et apprendre sur Linux dans un environnement ouvert. C’est un événement intense avec des discussions, des démonstrations, des ateliers interactifs avec les participants ( Lunixiens ). Toute personne qui a quelque chose à apporter ou a le désir d’apprendre est la bienvenue.

Pour vous s’inscrire une adresse http://linuxcamp2015.eventbrite.com

site web : Linux Sénégal – Tweeter @linuxsenegal

Retour sur ce qui a fait l’actualité dans le secteur des technologies et du digital. La revue hebdo, le rendez-vous des technophiles, à suivre sur Digital TV tous les vendredis.

LA REVUE HEBDO N°5 : Édition du 18 décembre 2015

Le Bêtisier vs Mountaga

L’année 2015 s’achève, la revue hebdo anciennement intitulée ITmag Replay se remet en selle. Avant un nouveau numéro, rions un peu avec la retrospective en coulisses des précédents numéros. L’envers du décor est tout simplement….. Regardez plutôt !

Reportées en 2016, une date sera communiquée

La multi-conférence de CTIC Dakar dédiée à l’entrepreneuriat et au numérique sera cette année aux couleurs “tech, business and fun”. L’événement se déroulera les 16 et 17 décembre au Grand Théâtre de Dakar et regroupera près de 1000 professionnels du secteur, 60 speakers de renom et plus de 30 exposants de toute la sous région.

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Le Futur du digital en Afrique: Au delà du buzz

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Hauts et Bas de la vie d’une startup

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Quels soutiens pour les PME innovantes ?

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L’avenir du commerce électronique en Afrique

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Le numérique pour les zones rurales : Mythe ou Réalité ?

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L’Organisation des Professionnels des TIC (OPTIC) organise le Salon International des Professionnels de l’Economie Numérique (SIPEN) les 14 et 15 Décembre 2015 au King Fahd Palace à Dakar. Ce salon international B2B sera organisé en marge des Assises du CNP et placé sous le thème “L’économie Numérique, levier de Développement Économique et Social”.

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Près de 70 experts nationaux et internationaux ainsi que plus de 2000 visiteurs sont attendus à cet événement avec au programme des panels, des ateliers, des animations de stands, des keynotes. L’objectif sera de profiter de cette rencontre entre différents acteurs du numérique pour réfléchir sur les différentes actions à mener afin de mettre en place un écosystème favorable au développement de l’économie numérique au Sénégal et en Afrique en général.

Rendez- vous sur le site www.sipen-dakar.com pour :

  • Consulter le programme du Salon
  • Consulter la liste des intervenants (speakers)
  • Découvrir les différentes entreprises et partenaires participants
  • Vous inscrire à un panel
  • Réserver votre stand

Notez dans votre agenda le SIPEN : 14 & 15 Décembre au King Fahd Palace, Dakar.