Après l’adoption parlementaire, la ministre burundaise des Télécommunications, Concilie Nibigira, a indiqué lors d’un point de presse que cette ratification ouvre la voie pour le Burundi pour “jouir pleinement des droits liés à la qualité de membre à part entière”, notamment le droit de vote et celui de se faire élire à tous les postes des organes dirigeants de l’UAT.
Le Burundi est signataire de la Constitution et de la Convention de l’UAT depuis décembre 1999.
Source: afriquinfos.com